Jean-Pierre Ancèle

																Jean-Pierre Ancèle

Je suis né à 17 ans, l’année de Woodstock et de John Wesley Harding.
Un peu plus tard j’ai rencontré Laurette Véza qui m’a transmis le goût subtil de la poésie.
Un peu plus tard (pas beaucoup), j’ai rencontré Masamichi Noro qui m’a transmis le goût subtil des spirales japonaises.
Alors, costumé en prof, campé à côté d’une lanterne magique, j’ai convoqué sur ma petite estrade les chers fantômes de Shakespeare, William Blake, Hemingway, Joyce, Emily Dickinson, Walt Whitman, Richard Brautigan, et bien d’autres.
Qui sait si j’ai transmis à une poignée d’élèves le goût subtil de leur art?
Aujourd’hui je cherche la formule de l’élixir subtil de l’écriture.
C’est parfois du tord-boyau. À la vôtre!

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																Jean-Pierre Ancèle