Dilettante, Gérard Besnier a été tour à tour mécanicien (deuchiste), menuisier (ébéniste), bibliothécaire (municipal), professeur de lettres (agrégé), traducteur (Vincenzo Sorrentino, Éloge de l’abandon, Le Pommier (2016) ; Umberto Eco, « L’homme qui fit rougir ma mère », postface à Cocaïne de Pitigrilli, (Séguier, 2018), ou militant associatif (jazz, polar,cinéma...). Il signe là son premier roman.