Certaines méprises peuvent coûter une vie !
La rixe aussi dangereuse que bouffonne à laquelle le commissaire Montalbano se trouve mêlé aurait dû lui servir d’avertissement : l’enquête qu’il entame va être semée d’erreurs sur la personne. Car cette fois-ci, le commissaire sicilien toujours aussi gourmet et tracassé par son propre vieillissement doit s’occuper de deux affaires sans lien apparent : celle de l’enlèvement successif de trois belles employées de banque, qui réapparaissent toutes miraculeusement le lendemain et celle de la disparition d’un don Juan – vendeur de matériel électronique – dont le magasin a été foudroyé par un incendie il y a peu.
Quand les deux enquêtes fusionneront en une seule, il lui faudra, pour la résoudre, dissiper les écrans de fumée qui se dresseront devant lui et ne pas se laisser entraîner par des erreurs qu’il pourrait bien commettre s’il n’y prend garde.
Heureusement, le petit monde du commissariat de Vigàta, avec l’ineffable Catarella en tête, et, de manière plus inattendue, la mafia seront là pour le conseiller et le soutenir.