Charlotte Erlih

La dernière fausse note

25 février 2021
Roman jeunesse
128 pages
122 × 181 mm
9782092594193
978-2-0925-9419-3
Illustré par
Cécile Becq
																Charlotte Erlih, La dernière fausse note
																Charlotte Erlih, La dernière fausse note

Comment se reconstruire après la perte d’un être cher ?

Clémentine joue du violoncelle depuis l’âge de 6 ans, entrainée par son père, violoniste professionnel et professeur implacable. Pour lui, c’est évident : sa fille suivra ses traces. Mais entre les nombreuses répétitions et sa difficile intégration dans son nouveau collège, Clémentine n’en peut plus. Elle se dispute violemment avec son père et décide d’arrêter le violoncelle. Plus question de passer son temps libre à faire des gammes, elle va enfin vivre la vie de toutes les jeunes filles de son âge.

Mais son père meurt d’une crise cardiaque, le lendemain même de leur dispute.

Clémentine est-elle responsable de la mort de son père ?

L’autrice

Charlotte Erlih est née en 1978. Normalienne et agrégée de Lettres modernes, elle a enseigné les Arts du spectacle à l’université avant de se consacrer, depuis 2008, à l’écriture et à la réalisation. Dès ses premiers courts-métrages adaptés de textes de Maylis de Kerangal, elle entremêle dans son travail, littérature, spectacle vivant et cinéma, aimant brouiller les frontières entre les genres. Elle a publié une vingtaine d’ouvrages, principalement en littérature jeunesse et Young Adults (romans, BD, albums), parmi lesquels Bacha Posh, 20 pieds sous terre, La dernière fausse note, qui ont remporté de nombreux prix en France et à l’étranger.
Son premier roman en littérature générale, Funambules, est paru chez Grasset.
Elle a écrit et co-réalisé en 2023 (avec M-P. Camus) un premier documentaire, Une Française à Kaboul (prix du public au Festival International du Film d’Histoire de Pessac, Prix Terre(s) d’Histoire – INA au FIGRA).

L’édition

À partir de 10 ans.

25 février 2021
Roman jeunesse
128 pages
122 × 181 mm
9782092594193
978-2-0925-9419-3
Illustré par
Cécile Becq