Masatoshi Kumagaï

Confessions d’un Yakuza

1 mars 2021
Documentaire
384 pages
140 × 200 mm
22,90 €
9782358877398
978-2-3588-7739-8
Traduction de Jean-Baptiste Flamin
																Masatoshi Kumagaï, Confessions d’un Yakuza
																Masatoshi Kumagaï, Confessions d’un Yakuza

« Un chef sans idéal ne jouit d’aucun prestige. Un chef qui se laisse déborder par la réalité, d’aucune confiance. »

Les légendaires yakuzas, maîtres du crime organisé japonais, se structurent autour de trois grandes familles pour orchestrer la vie criminelle au pays du soleil levant. Parmi les leaders du clan Inagawakaï, Masatoshi Kumagaï fait régner un ordre nouveau. Après une ascension fulgurante, ce japonais deviendra le plus jeune des chefs yakuzas, ouvrant les activités de son clan aux trafics internationaux, apparaissant à visage découvert dans les médias, abordant son activité tel un formidable businessman et allant jusqu’à gravir les marches de Cannes pour promouvoir un documentaire qui lui est consacré...

Dans ce livre construit à partir d’une série d’entretiens avec Kumagaï, on découvre cet intrigant maître yakuza. Page après page, il nous révèle son parcours, les coulisses d’un monde loin des fantasmes et sa philosophie entre modernité et tradition, profit et code d’honneur.

L’auteur

Masatoshi Kumagaï, né à Sendai en 1961, voulait devenir policier. Aujourd’hui il est l’un des « parrains » de la mafia nippone, du clan Inagawakaï, le deuxième clan le plus important du Japon. Il est l’un des rares chefs yakuza à étendre ses activités au-delà des frontières du Japon.

Points forts

Pour la première fois, un authentique Yakuza raconte sa réalité, loin de tous les clichés.

Un formidable document sur le Japon et sa philosophie du crime.

L’édition

Cahier photo 8 pages couleur.

Entretiens avec Tadashi Mukaidani.

Préface

Préface de Jérôme Pierrat, proche de Masatoshi Kumagaï et journaliste spécialisé dans la criminalité.

1 mars 2021
Documentaire
384 pages
140 × 200 mm
22,90 €
9782358877398
978-2-3588-7739-8
Traduction de Jean-Baptiste Flamin