Une femme se rend à la police pour y avouer le meurtre de son mari. Les fonctionnaires cherchent à l’éconduire prestement, c’est qu’ils sont tellement habitués à ce qu’elle vienne leur « avouer » ce meurtre. En effet, elle s’imagine si précisément – et si souvent – ce passage à l’acte qu’elle en conçoit un réel sentiment de culpabilité. Elle est depuis quelques temps déjà suivi par un psychologue à ce sujet.
Cette fois-ci pourtant, les choses sont différentes. Car, oui, là, le mari est bel et bien mort. Mais très vite l’enquête la disculpe totalement et elle rentre chez elle, penaude.
Il serait peut-être temps d’en parler à son psy ? D’autant qu’ils sont devenus très, très proches...