Un roman noir dans la lignée de Dirty Weekend de Helen Zahavi... en moins sanglant.
Les Orageuses raconte l’histoire d’une impossible réparation : celle d’une bande de filles ordinaires qui décident un jour de reprendre le contrôle de leur vie, ensemble, et de partir en quête de leur propre justice après avoir été violées. Après Bâtir aussi et On n’a que deux vies, Les Orageuses est une nouvelle création produite dans les marges féministes et queer de la société française contemporaine.
Un texte profondément d’actualité dans un contexte de visibilisation des violences sexuelles, tout à la fois sensible et radical, qui dépeint des personnages de femmes se débattant avec leurs fantômes et leur vécu, mais se réparant collectivement.