À dix-huit ans, Nouk pensait que le monde allait changer de base. Il semblerait que quelque chose ait mal tourné...
Nouk
est rebelle, insolente. Quand Olaf l’embarque dans sa maison d’édition,
elle n’imagine pas qu’il puisse un jour se séparer d’elle. C’est
pourtant ce qu’il fait. N’a-t-elle vraiment rien vu venir ?
Avec
Werther, c’est autre chose. Ce grand éditeur, excentrique et
visionnaire, devient son mentor. Mais il se montrera incapable de la
protéger.
Cinglant, poétique, d’un humour féroce, Les enchanteurs jette un regard lucide sur le mélange détonant que forment
le sexe et le pouvoir dans l’entreprise.
Mais c’est d’abord la
désillusion, la colère et la mélancolie que convoque ici Geneviève
Brisac, dans un hymne à la résistance, c’est-à-dire à la vie.