Une entrée en littérature flamboyante : Les maisons vides révèle la voix, la sensibilité et le talent romanesque d’une jeune autrice de 30 ans.
Des premiers pas à l’adolescence, dans cette campagne qui l’a vue naître, Gabrielle, avec une énergie prodigieuse, grandit, lutte, s’affranchit. Gymnaste précoce, puis soudain jeune femme, Gabrielle ignore les araignées dans son souffle comme les regards sur son corps. Elle avance chaque jour un peu plus vers la fin de l’enfance.
Porté par une écriture aussi puissante que sensible, Les maisons vides laisse entendre le vibrant chœur de femmes autour de Gabrielle : Suzanne, Joséphine, María... Générations sacrifiées ou mal aimées, elles ont appris à se dévouer, à faire face et, souvent, à se taire.