Écrits au fil du quinquennat, ces poèmes courts et percutants donnent à revoir de manière neuve l’histoire d’une omniprésidence, de l’euphorie de 2007 au désamour de 2012. Sous l’apparence du dithyrambe, Xabi Molia renverse l’éloge grandiloquent en cruel répertoire de cette aventure à strictement parler déconcertante.
Face à la puissance de feu des discours officiels, la poésie garde intacte sa force de corrosion.